Si tous les détenteurs du permis savent conduire au moins un type de véhicule, chacun développe sur la route son style propre, du plus prudent au plus dynamique.
Lorsqu’il ne s’agit plus de notre plaisir, mais d’optimiser la mobilité en entreprise, il est tout à fait possible d’homogénéiser les automatismes des collaborateurs, grâce à une formation aux meilleurs réflexes de conduite. L’impact positif en est avéré sur bien des aspects !
Réaliser des économies substantielles
L’éco-conduite vise en premier lieu à adopter une stratégie d’accélération et de freinage adaptée à la situation routière, mais limitant la consommation de carburant et la sollicitation des pièces mécaniques.
En cela, elle réduit naturellement les coûts liés aux kilomètres parcourus et à l’entretien du véhicule. Appliquée à toute une flotte professionnelle, l’éco-conduite peut permettre la réalisation d’économies importantes !
Veiller à la sécurité routière
Par ailleurs, la sécurité des collaborateurs n’a évidemment pas de prix. Une formation aux meilleures pratiques routières réduit considérablement les risques d’accident responsable et permet également de mieux anticiper les potentielles erreurs d’autrui.
Pour exemple, l’anticipation encourage à une décélération progressive en amont d’un obstacle, au lieu d’opter pour un freinage puissant et brutal. Cette deuxième solution est non seulement plus coûteuse en termes de carburant et de plaquettes de frein, mais aussi potentiellement dangereuse en cas d’imprévu. Ajoutons qu’une conduite plus souple permet de conserver toute son attention portée sur l’environnement, pour détecter au plus tôt les sources de dangers.
Minimiser l’impact environnemental
Enfin, les économies évoquées de carburant et de pièces de rechange, participent logiquement à la réduction des quantités de matières premières nécessaires, à kilométrage égal, pour répondre au besoin de mobilité. Dans un monde où les ressources se raréfient, il relève du bon sens d’adopter l’éco-conduite, permettant un effort concret sans se priver.
Par ailleurs, le véhicule aura également émis moins de polluants dans l’atmosphère, dont la quantité est amplifiée par les fortes accélérations. On estime que réduire la vitesse de 10 km/h seulement, réduit la quantité de CO² rejetée de 12,5% sur un trajet de 500 kilomètres. Édifiant !
L’éco-conduite, pour l’ensemble des raisons évoquées, a toute sa place dans la démarche RSE de l’entreprise. Engager une démarche de formation participera de la visibilité de cette politique progressiste auprès des collaborateurs, tout en leur permettant d’apprendre une nouvelle manière d’appréhender la route qui pourra servir leurs intérêts dans la vie professionnelle, mais aussi privée. Bonne nouvelle : nous sommes certifiés en tant qu’organisme de formation à l’éco-conduite !